À Diest, en Brabant flamand, nos constructive challengers se sont chargés, pour le compte d’un promoteur, de 4 nouveaux locaux commerciaux destinés à être loués. Le chef de projet Wouter nous relate les points culminants ainsi que les défis rencontrés sur son chantier.
Le projet : T2 à Diest
- 4 nouveaux immeubles de bureaux casco distincts, mais adjacents
- 2 unités de devant : unités casco dont la finition est en façades de verre
- 2 unités de derrière : unités casco classiques
- Construction avec une structure en acier et des charpentes en acier
- Finition du toit en tablier métallique avec des joints en PVC
- Parois intermédiaires/coupe-feu en panneaux de béton cellulaire
- Façade extérieure en panneaux de béton et panneaux sandwich
« Il s’agissait d’un projet dans lequel nos challengers ont coordonné les travaux du début à la fin. Depuis les travaux de démolition des bâtiments existants sur le site jusqu’aux travaux d’aménagement paysager et d’asphaltage, en passant par le gros œuvre et les techniques », explique Wouter.
La collaboration
« Pour le maître d’œuvre, principalement actif dans le domaine du logement, il s’agissait de l’une de ses premières expériences avec la construction industrielle. Dès le début du projet, nous l’avons entraîné dans la rapidité et l’efficacité d’un tel projet. »
« Notre département 3D interne est entré immédiatement en action après l’obtention du permis de bâtir. Cela nous a permis de montrer très rapidement la structure et les contours du bâtiment au maître d’œuvre et à son architecte. Un énorme plus au début de la collaboration. »
Les défis majeurs
Trois défis majeurs ont croisé le chemin de nos équipes sur et hors chantier. À commencer par une partie de Tetris qui a duré des mois.
1. La recherche d’un lieu
« Tant à gauche qu’à droite et à l’arrière de la parcelle, nous n’avions presque pas d’espace pour y mettre notre matériel de construction. Pour donner un exemple : 50 panneaux de béton cellulaire, de 6 mètres de long chacun, sont arrivés sur le chantier par transport. Chaque jour, c’était une course effrénée pour trouver une place pour tout. »
« C’est précisément pour cette raison que nous avons décidé d’utiliser une grue sur chenilles plutôt qu’une grue télescopique. Cette grue est plus mobile, prend moins de place et s’est avérée plus résistante aux conditions marécageuses des mois d’hiver. »
2. Expect the unexpected
Nous avons livré les 4 nouveaux immeubles de bureaux casco. Nous avons installé nous-mêmes les techniques de base et l’éclairage, ainsi que des conduites d’attente supplémentaires pour les futurs locataires. De même pour les vestiaires et les toilettes.
« Au début, il était difficile d’évaluer ce que nous devions prévoir ou pas. Pendant longtemps, le maître d’œuvre n’avait aucune idée des locataires auxquels il devait s’attendre. Et les locataires eux-mêmes ont également modifié leurs choix ici et là. Des pavés à l’asphalte pour le parking, un escalier spécialement conçu qui n’a plus fait l’objet de la commande au tout dernier moment… En d’autres termes, tout au long du processus, nous avons dû faire preuve de flexibilité à plusieurs reprises. »
3. Problèmes d’égouts
Enfin, le système d’égouts réservait également une surprise à nos constructive challengers. « Le diamètre du raccordement pour la pluie et les eaux usées s’est avéré trop petit. Par le passé, le site semblait déjà avoir beaucoup de mal à évacuer les eaux de pluie. Le problème ne ferait donc qu’empirer. »
« Trouver une connexion au système d’égouts de l’autre côté de la route très fréquentée s’est avéré ne pas être une option. Nous avons partiellement résolu ce problème en installant des bassins d’infiltration, notamment en creusant un tuyau de drainage sous la parcelle des voisins arrière vers le canal tout proche, avec des avaloirs supplémentaires. D’une pierre deux coups, car cela permet également de protéger les voisins d’éventuels problèmes d’eau à l’avenir. »
Typiquement edibo ?
Aux yeux du chef de projet Wouter, qu’est-ce qui était tout à fait typique pour son équipe dans le cadre de ce projet ?
« En ce qui concerne le planning, il est certain que nous avons rencontré des difficultés à certains moments en raison de circonstances extérieures. Surtout vers la fin. C’est précisément dans ces moments que nous avons montré une fois de plus que la flexibilité est véritablement notre grande force. Même pendant les congés du bâtiment, nous avons veillé à ce que les locataires des bâtiments puissent arriver sur un site proprement terminé après l’été. Ça aussi, c’est typiquement edibo. »
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