Dans le cadre des projets de construction industrielle, la sécurité sur le chantier est une priorité absolue. Alors que le secteur de la construction se réinvente constamment, la sécurité ne peut être laissée de côté. C’est précisément pour cette raison qu’edibo et edibosud ont pris un nouvel engagement ; un engagement dans lequel chaque constructive challenger sera impliqué individuellement.

La construction d’une base solide

« Depuis le premier jour, edibo a investi beaucoup de temps et d’énergie au niveau de la sécurité, tant sur nos chantiers que dans nos ateliers », explique Thomas Van Hooydonk, coordinateur de la sécurité, de la qualité et de l’environnement.

« Notre politique en matière de formation à la sécurité, de réunions “débats”, d’inspections de chantier, de contrôles, d’EPI… est déjà bien définie, tout comme nos systèmes et règles de sécurité généraux. En 2004, nous avons obtenu le certificat OHSAS18001 (remplacé par le certificat ISO45001 dès 2020) et, en 2014, nous avons aussi obtenu le certificat VCA. Cela prouve que nous sommes définitivement sur la bonne voie. Ces dernières années, nous avons également mis l’accent sur la sécurité technique et l’utilisation sûre du matériel de travail. En d’autres termes, nos ouvriers peuvent exercer leur travail en toute sécurité. »

« Mais, malgré ces efforts importants, nous constatons que le nombre d’accidents et de dommages ne diminue pas toujours, alors que la fréquence et la gravité des cas continue sérieusement de diminuer. Autrement dit, nous nous heurtons sans cesse à un autre problème. »

« Par conséquent, nous nous orientons davantage vers la sensibilisation à la sécurité au travail et le comportement humain qui y est lié. C’est un défi que nous devons assurément oser relever, certainement en tant que société avec de grandes exigences de qualité et certainement compte tenu de notre orientation croissante vers les secteurs pharmaceutiques et pétrochimique. Ces deux secteurs imposent des exigences encore plus grandes en termes de sécurité par rapport aux autres secteurs industriels. »

« Au printemps 2020, nous avons commencé à chercher un partenaire pour nous aider à développer une culture de la sécurité largement soutenue. L’objectif est de devenir plus conscient de la sécurité et d’apprendre à adapter encore mieux notre comportement quotidien à celle-ci. À l’avenir, chaque individu devra être capable de décider lui-même des risques éventuels liées aux tâches de son travail. L’objectif est de développer une mentalité dont la devise est : “Nous le faisons en toute sécurité ou nous ne le faisons pas.”

Des entretiens anonymes aux ateliers mixtes

Ce projet de sécurité a été officiellement lancé au début de l’année, sous le nom Construire une culture de sécurité. « Certes, il a pris du retard », reconnaît Thomas Van Hooydonk. « D’une part, à cause de la situation liée au coronavirus et, d’autre part, parce que nous n’avons pas trouvé le bon partenaire immédiatement. Finalement, nous sommes tombés sur les coachs de NOA Trainings à la fin de l’année passée. »

« Le déclic s’est fait immédiatement. Nous leur avons présenté nos défis et ils nous ont donné une réponse — à priori — surprenante. Alors que nous voulions intuitivement nous concentrer sur les chantiers et l’atelier, leurs coachs en matière de sécurité ont présenté une tout autre approche : partir des profils des directeurs pour finalement impliquer chaque individu dans le projet de sécurité. »

Le résultat est un plan en plusieurs étapes, réparti sur plusieurs mois. Nous y recherchons ce que l’on appelle le plus grand dénominateur commun parmi nos constructive challengers.

« Nous avons commencé par la direction, nos chefs de département, nos chefs de projet et de chantier. Pendant plusieurs masterclasses, nous avons énuméré les plus grands défis en matière de sécurité, mais aussi en matière d’ordre et de propreté et ce, pour tous nos sites. Tous les autres collaborateurs ont eu l’occasion de s’exprimer dans le cadre d’entretiens anonymes. De cette manière, nous essayons de nous faire une idée du plus grand dénominateur commun parmi tous nos collègues. »

« Les conclusions de cette analyse sont communiquées par le coach à l’équipe de la direction. À partir de là, on passe à la phase la plus importante du projet. Nous organiserons bientôt plusieurs ateliers, chacun par groupes de dix personnes environ, composés d’un mélange d’ouvriers de chantiers, d’ouvriers de l’atelier, d’ingénieurs, etc. On terminera par un dernier atelier avec les ambassadeurs de la sécurité chez edibo, à savoir les travailleurs qui se sont montrés les plus impliqués pendant tout le projet. »

Le coup d’envoi officiel

Concrètement, cela promet d’être un exercice intense, mais qui va sans aucun doute porter ses fruits, souligne Thomas Van Hooydonk.

« L’objectif final de tout ce projet est de déterminer un certain nombre de valeurs et d’objectifs concrets et réalisables, qui sont collectivement partagés par nos constructive challengers. Ensuite, nous traduisons ces objectifs en une campagne de sécurité, avec des actions à court et à long termes. »

« De cette manière, nous progressons toujours plus vers une culture de sécurité partagée, dans laquelle le plus de personnes possibles chez edibo se sentiront étroitement impliquées. Mais soyons clairs, la sécurité est et reste un chantier en cours. Les coachs externes de sécurité continueront à nous évaluer pendant quelque temps et à faire des ajustements si nécessaire.

La sécurité sur le chantier, aussi l’une de vos priorités ?

Comme vous pouvez le constater, la sécurité, l’ordre et la propreté ne sont pas des notions que nous prenons à la légère chez edibo. Vous êtes à la recherche d’un partenaire de construction industrielle qui réalise des constructions industrielles de qualité et qui donne toute son attention à ce qui se passe sur le chantier ? Nos constructive challengers seront ravis de relever le défi pour vous. Prenez rendez-vous ou contactez-nous pour toute question.