Il a appris le métier de constructeur dans une ferme avec un ami, mais c’est son père qui lui a fait découvrir le secteur de la construction industrielle. Dans cet article, nous vous présentons Jonas, constructive challenger. Après cinq années en tant que monteur chez edibo, il fait petit à petit le pas vers la fonction de contremaître, tout comme son père.
Des étables aux entrepôts industriels
À 26 ans, Jonas a déjà réalisé un beau parcours chez edibo. Pourtant, il n’avait pas l’intention de se lancer dans le secteur de la construction.
« Après l’école secondaire, j’ai directement été à l’université, mais je me suis très vite rendu compte que les études n’étaient pas faites pour moi. Mon père m’a alors demandé si je voulais travailler chez edibo. L’entreprise cherchait de nouveaux monteurs, alors j’ai tenté ma chance. »
À ce moment-là, Jonas n’avait pas de grande expérience dans le secteur de la construction. « À 18 ans, j’ai fait un job d’étudiant avec un ami dans une ferme près de la maison. Avec l’agriculteur, nous avons commencé à construire ses nouvelles étables. C’était la première fois que je réalisais une telle chose. »
« Mais je suis débrouillard, quelqu’un qui analyse bien ce qui se passe autour de lui et apprend très vite. Pendant ce job d’étudiant, j’ai construit un bâtiment entièrement préfabriqué, j’ai appris à carreler, et j’en passe.
« Mon père ne m’a pas à l’œil »
Sous la responsabilité de son père, Jonas s’est très vite approprié la méthode de travail d’edibo. « La transition vers la construction industrielle s’est déroulée très facilement selon moi. J’ai commencé dans une équipe de 4 personnes, où mon père était à l’époque le bras droit et contremaître de remplacement le vendredi. Au début, je devais effectuer des petits travaux, surtout être très attentif et poser des questions. »
« Mais j’ai vite trouvé mes marques, grâce aux différentes formations. Mon père me laissait toujours faire mon propre travail, même lorsqu’il est officiellement devenu contremaître un an plus tard. Il ne m’a certainement pas eu à l’œil. Un an plus tard, certains collègues sont venus me chuchoter qu’ils feraient de moi aussi un contremaître. J’ai donc commencé à garder un œil sur mon père (rires). »
Ce printemps, j’ai fait le premier pas pour devenir contremaître avec, entre autres, une formation au permis de conduire BE et une formation de trois jours « Devenir contremaître » chez Constructiv. Au cours de ces trois jours, l’accent était mis sur le leadership, le coaching d’équipe et la communication. De quoi Jonas se souvient-il le plus ? « J’ai surtout appris qu’il est important de communiquer de façon individuelle avec les autres ; tout le monde est différent, vous ne pouvez donc pas faire passer un message de la même manière à tout le monde. »
« Enthousiasme pour chaque projet »
Jonas a-t-il une préférence pour certains types de projets ? « Honnêtement, j’aime tout faire. J’apprécie surtout la variété du métier ; un jour, nous assemblons de l’acier, le lendemain des plinthes ou des panneaux sandwich. L’industrie chimique est peut-être moins confortable parce qu’il faut porter des lunettes de sécurité en permanence, mais la sécurité prime bien sûr. (rires). »
Si vous demandez à Jonas quel est son projet préféré jusqu’à aujourd’hui, un projet sort du lot. « De Poort van Mierlo » (« La Porte de Mierlo »), aux Pays-Bas. Nous avons construit des unités PME et des bureaux pour quatre entreprises, mais c’est surtout la porte d’entrée qui m’a marquée. »
« La porte devait avoir un aspect en 3D et nous l’avons fait à l’aide de pièces de pliage spéciales. Nous avons meulé différentes plaques de métal – en acier galvanisé de 2 mm d’épaisseur – sur place, nous les avons dégraissées, fait peindre en poudre et, pour terminer, nous les avons fixées autour de la porte. Un processus très ambitieux, mais aussi très beau à voir.
Krachtbal le week-end
Pour terminer, quels défis Jonas recherche-t-il en dehors du travail ? « J’aime surtout jouer au krachtbal, un sport qu’un ami m’a fait découvrir il y a quelques années. L’équipe cherchait quelqu’un de grand et de fort. (rires). »
Ce sport est principalement connu dans le nord du Limbourg, dans certaines parties d’Anvers et en Flandre occidentale. Le but est de lancer une balle de 4 kg dans la zone de but opposée, sans que l’équipe adverse puisse attraper la balle avant qu’elle ne touche le sol. C’est très fatigant, mais surtout très amusant !
À la recherche d’un chouette défi dans le secteur de la construction ?
Êtes-vous, comme Jonas, une personne qui aime relever de beaux défis, évoluer et apprendre en permanence ? Chez edibo, nous pouvons certainement utiliser votre enthousiasme et vos forces ! Jetez un coup d’œil à nos offres d’emploi ou apprenez à nous connaître en nous contactant spontanément !